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Madagascar : l'île rouge |
cliquer sur la « vignette
photo » pour accéder à l'album
photos correspondant. Bonne
visite. |
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Côte Est :
Antananarivo => Andasibe |
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De retour à Antananarivo, je
reprends mes quartiers au
Sakamanga. Mais l'escale est de
courte durée et demain nous
reprendrons la route vers l'Est.
Je vais me balader dans la ville
qui est bien agréable, surtout
quand la météo est au beau fixe.
Des habitants me mettent en
garde contre les pickpockets qui
sévices avenue de l'Indépendance
mais avec un peu de bon sens...
pas d'inquiétude !
Sur le marché de Mahago,
à la sortie de Tana, le boucher
exhibe fièrement la tête du zébu
qu’il vient de dépecer à même le
sol… Sans doute ce que l’on
appelle de la viande à l'étal ! |
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Nous quittons par l’est les
villages traditionnels des
hauts plateaux, avec leurs
petites maisons orientées à
l’ouest, aux murs de latérites
coiffés de chaume, et la fumée
qui, faute de cheminée, s’évade
par la porte.
L’Est de Madagascar est très
arrosé… il y a paraît-il la
saison des pluies et la saison
où il pleut ! Force est de
constater qu’il est difficile de
traverser cette partie de l’île
sans essuyer des averses plus ou
moins fréquentes. |
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Revers de la médaille, si tout
est vert et pousse, tout ou
presque est détruit par la
violence des cyclones qui
traversent chaque année cette
région.
Mais tout ou presque est
reconstruit patiemment par les
hommes chaque année.
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Dans cette région, c’est profusion de fruits et de
légumes. Il suffit de s’arrêter
sur le bord de la route pour
contenter sa gourmandise. |
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Côte Est :
réserve Vakona à Andasibe |
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Le Vakona Lodge abrite
une petite réserve privée, où
les lémuriens installés sur une
vaste île d’eucalyptus, apeurés
par l’eau, vivent ainsi en semi
liberté.
Nous posons les pieds sur l'île
après une traversée en barque
d'au moins... 10 mètres !
Pour notre plus grand plaisir,
les lémuriens se laissent
facilement approcher. Avec la
promesse de grappiller quelques
bananes, les plus téméraires
viennent sur nos épaules,
facétieux ou indifférent leur
contact est d’une extraordinaire
douceur, un moment privilégié ! |
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Le Lémur couronné,
possède les joues et le front
roux, et est de loin le plus
familier des lémuriens de la
réserve.
Le Vari noir et blanc
utilise sa queue comme balancier
et peut prendre des positions
surprenantes.
Le très beau et très expressif
Propithèque à diadème.
Un des plus petits et des plus
mignons avec sa bonne bouille,
l’Hapalémur doré ou
Lémur bambou car très attiré
par les jeunes pousses de
bambou, est un lémurien
nocturne. |
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Vari noir et blanc |
Propithèque à diadème |
Lémur bambou |
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Puis un circuit pédestre, qui
s’enfonce dans la forêt
pluviale, permet de découvrir
une autre partie du parc.
Il compte un nombre
impressionnant de crocos qui
cohabitent au bord d’un lac où
dans un espace clos pour éviter
que les gros mangent les petits.
Le parc abrite aussi un couple
de Fossa, sortes de
petits pumas principal prédateur
de lémurien, pratiquement
impossible à observer en pleine
nature car discret et
essentiellement nocturne. Le
fameux Do, un petit boa
constrictor inoffensif.
Le Martin-pêcheur est un
familier de la mangrove proche
de la côte est de Madagascar. |
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Côte Est :
réserve
spéciale Indri-Indri |
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La réserve spéciale
Indri-Indri a pour but de
protéger… l’Indri ! Le
plus grand et le plus lourd des
lémuriens, jusqu’à 75 kg au
pelage noir et blanc et dépourvu
de queue, il peut vivre
quatre-vingts ans.
Ce lieu privilégié et préservé,
abrite plusieurs espèces de
lémuriens. Sans trop d’efforts
et avec un bon guide nous
apercevons des Indris,
les plus grands lémuriens par
leur taille assez
impressionnante. Repérables par
leurs cris particuliers qui
peuvent s’entendre à plusieurs
kilomètres à la ronde. |
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L’indri est un animal qui vit en
famille, frugivore, il a une vie
sociale amicale avec les autres
espèces comme les makis, sifakas
et macacos. Nous en dénichons
perchés dans les arbres et
assistons à un véritable ballet
aérien...
Avec ses allures d’animal
polaire, le Sifaka est
surnommé le « lémurien danseur »
car quand il se déplace, il
marche et sautille en même
temps. Ils donnent généralement
naissance à un petit qu'ils
transportent avec eux en
permanence.
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Les Avahis sont des
animaux nocturnes dont le rayon
d’action ne dépasse pas 50 à 250
m toute leur vie. Donc, assez
facile à observer de jour avec
un bon guide. D’un naturel
curieux, il est toujours amusant
de voir leur belle frimousse
nous observer à travers les
feuillages qui constituent leur
nid.
Le gecko, à ne pas
confondre avec le caméléon, est
un lézard avec des ventouses aux
doigts.
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Il existe des caméléons de
toutes les formes, de toutes les
tailles et de toutes les
couleurs. Celui-ci ne dépasse
pas 5 cm et fait partie de la
soixantaine d’espèces - toutes
ne sont pas recensées – qui
peuple l’île soit la moitié des
espèces de la planète !
Le parc dévoile
l’exceptionnelle richesse de la
faune et de la flore endémiques
de Madagascar avec des
lémuriens, caméléons, orchidées
et papillons… |
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Côte Est : Andasibe =>
Tamatave |
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Visite de la ville d’Andasibe
: les rues de terre battue, des
cahutes de fortune, des échoppes
bariolées où tout se mélange
pêle-mêle, viandes, fruits,
casseroles...
Une ville à l’allure western où
le temps se serait arrêté un
moment sans pouvoir repartir.
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Sur la route de Tamatave
les paysages pittoresques:
végétation luxuriante,
habitations sur pilotis,
cultures tropicales… et les
scènes surréalistes se
succèdent : comme cette dame qui
porte un bonnet de père Noël,
certes pendant l’hiver austral,
mais en plein mois de juillet !
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Côte Est : Île Sainte-Marie
/ Nosy Boraha |
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Encore une nuit écourtée, ce
matin j’ai rendez-vous à 5h30
devant l’hôtel où l'agence
Cap Sainte-Marie doit me
récupérer pour aller sur l'ile
éponyme. De Tamatave, un
taxi-brousse m’emmènera jusqu'au
port de Tanindrazana où
ensuite un bateau prendra le
relais jusqu'à Sainte Marie. |
Après quatre heures de
taxi-brousse à risquer ma vie
sur des pistes défoncer...
Des formalités portuaires d’un
autre âge : nous devons dans un
premier temps nous faire
enregistrer à la gendarmerie où
des gendarmes recopient les
informations du passeport sur
des feuilles volantes, puis au
commissariat local où un
officier de police assis devant
une pile conséquente de
passeports recopie d'une
écriture appliquées toutes les
informations dans un cahier...
interminable.
Et une traversée sur un bateau
rempli au delà du raisonnable,
je débarque sur l’Île
Sainte-Marie accueilli comme
partout à Madagascar par le
sourire des enfants.. |
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Sainte-Marie - Nosy
Boraha en malgache - est une île
tropicale située sur la côte Est
de Madagascar.
Autrefois connue pour être un
haut lieu de pirates et
vagabonds, cette île est
aujourd’hui réputée pour ses
plages de sable blanc, son lagon
aux eaux turquoise et son
atmosphère indolente. |
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J’ai passé les 3 derniers jours
de mon périple sur cette ile
paradisiaque. Au programme,
balades en vélo, en moto, à
pied... pour visiter la totalité
de l'ile et nager dans une eau
turquoise.
Mais comme le tourisme balnéaire
ce n’est pas trop mon truc, le
meilleur moment fut bien sûr la
sortie pour aller rencontrer les
baleines à bosses qui
chaque années viennent au large
de Sainte-Marie pour mettre bas.
Et je n’ai pas été déçu ! |
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Pour retourner au départ du
voyage :
Nationale 7 |
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